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Histoire des Seigneurs
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27 juillet 2013 6 27 /07 /juillet /2013 23:00

LE CHATEAU D’ABONDANT

http://mairie.pagespro-orange.fr/abondant/Photo/Chateau1.jpg


A la mort de Robespierre (28 juillet 1794), Madame de Tourzel et sa fille avaient échappé comme par miracle à l’échafaud.


L’ancienne gouvernante des enfants de France reçut l’ordre de se retirer dans sa terre d’Abondant où elle sera encore considérée un peu comme une prisonnière.

 

On peut dire que sa présence continuelle durant la terreur a sauvé Abondant du pillage et de la confiscation.


Dès les premiers jours de la restauration, le roi Louis XVIII avait attaché à la personne de la dauphine Mademoiselle Pauline de Tourzel, devenue la duchesse de Béarne, et octroyé à sa mère le titre de duchesse.

 

L’ancienne gouvernante des enfants de France s’éteignit le 15 mai 1832, et son corps fut transporté à Abondant et inhumé dans l’église du village.

 

Son fils étant mort en 1815, le dernier Duc de Tourzel fut son petit fils, Olivier, marié à Mademoiselle de Crussol d’Uzis.

 

Le château d’Abondant a passé ensuite par succession à la duchesse de Vallambrosa et à la comtesse Lafon.


Ce château d’Abondant fut construit au 16ème siècle, les deux ailes ajoutées vers 1750.


L’allée du château appartenait aux châtelains d’Abondant.

 

Elle fut tracée, paraît-il, par Louis François du Bouchet, Marquis de Sourches, Chevalier de l’Ordre du Roi, afin de relier Abondant à la Route Royale de Versailles-Paris (actuelle RN12)


Au bout de cette Allée du Château, existe le " Bois du Rond " bien que sa forme soit plutôt un trapèze.

 

Ce nom de " Rond " viendrait de ce que le dit Marquis sortait chaque jour plusieurs de ses chevaux jusqu’à ce bois où il tournait, faisait un grand cercle toujours à la même place !

 

Ce bois a été acheté par la commune en 1987 et est actuellement en cours d’exploitation.


A l’opposé et dans l’alignement de l’allée et du château, la route en forêt CD147.2 vers Saint Georges Motel est toujours appelée par les anciens Route du Marquis, sans doute en souvenir de ce même Marquis du Bouchet de Sourches.


EN SAVOIR PLUS


D’après les documents retrouvés dans notre château, le premier occupant dont le nom nous est connu est Pierre de Bigot, seigneur du Fay et de la forêt les Houdan.

Jusqu’à la fin du XV° siècle, nous n’avons plus aucun renseignements au sujet des propriétaires de cette seigneurie Guillaume de la Guiry est mentionné en 1485 comme seigneur de Fay et d’Abondant.

 

Puis nous voyons apparaître en 1560, le nom de Jean de Mangot, poste enseigne de cinquante hommes d’armes des ordonnances du Roi.


Son fils, Louis de Mangot, était encore, en 1618, possesseur de cette terre.


La seigneurie d’Abondant passe vers la même époque, d’une manière que nous n’avons pu élucider, aux mains de la petite fille de François de la Noue, dit Bras de Fer, gentilhomme breton, catholique de naissance, qui se fit protestant à son retour d’Italie, grand homme de bien, grand homme de guerre, suivant Henri IV.

 

Marie de Noue eut un jeune galant à la fin de sa vie du nom de Montferville.


Celui-ci cherchait surtout à faire profiter sa parenté de l’argent de Madame de Noue, à tel point qu’Abondant doit être cédé, en 1645, à un abbé de Saint Martin de Trouard du nom de Bouchet de Sourches, contre la terre moins importante de Montguichet, prés de Gagny.


La terre d’Abondant demeura en possession de la famille du Bouchet de Sourches jusqu’à ces dernières années.

 

Puis ce fut en 1699 que la seigneurie d’Abondant passa entre les mains de Louis François du Bouchet, marquis de Sourches, à, qui on a attribué la paternité des célèbres mémoires du règne de Louis XIX.


Son fils Louis V, fut reçu grand Prévôt de France à l’âge de huit ans, par survivance de la charge dont s’était démis son frère, le compte de Montsoreau, lieutenant général des armées du roi.

 

C’est ce jeune marquis de Sourches qui transforma le château en faisant élever des pavillons aux deux extrémités, et construire le bâtiment des cuisines.

 

Le grand escalier en pierre fut posé en 1723 et reçu une superbe rampe en fer forgé et tout l’intérieur décoré dans le style de la Régence.


Les meubles eux-mêmes semblèrent bientôt s’harmoniser avec le caractère des pièces de réception, et les petits canapés, à peine plus grands que certaines marquises, s’adaptèrent dans les panneaux jusqu’à suivre les lignes sinueuses des boiseries complété de corniches en stuc, exécutés par les meilleurs ébénistes de l’époque. Le marquis eut recours à Jean Mansart de Joury (petit fils de Jules Hardouin-Mansart) comme architecte et aux meilleurs peintres et sculpteurs.


Chaque pièce avait son caractère propre, l’une possédait une tenture dont les branches et les fleurs étaient traités dans le goût chinois, le grand salon avait une tonalité agréable avec ses bleus et ses roses qui semblaient contribuer à marquer la grâce des courbes et la variété de factures des coquilles.

 

Autant de transformations heureuses qui contrastaient avec la rigidité des fenêtres de la façade, des toits aux arrêtés vives et des grandes cheminées qui semblaient comme autant de mâts carrés et massifs fusant vers le ciel.


Devant la façade arrière, l’architecte paysagiste Duchêne avait dessiné, un parterre de broderie en bois taillés et graviers colorés, dans un vaste boulingrin en demi-cercle.

 

Au-delà s’étendait un tapis vert, prolongé par une longue perspective qui rejoignait les percées de la forêt de Dreux.


Monsieur Harjes, l’associé du grand ami de la France, Monsieur Morgan, fut propriétaire en 1925 de cette vénérable demeure.


Dans une revue des musées de France de Juillet 1991, un article très documenté commente la reconstitution du salon du château d’Abondant : " Le musée du Louvre vient de recevoir en don, les boiseries et une partie du grand salon du château d’Abondant.

Lorsqu’il sera reconstitué au pavillon de Marseu dans l’actuelle salle du bureau de l’électeur de Baviere, il permettra de présenter un décor du XIX siècle ayant conservé ses couleurs d’origine et son mobilier "


Louis II du Bouchet épousa en première noce la fille du maréchal de Biron, et en secondes noces, Marguerite Henriette de Mallebois, fille du maréchal.

 

Son fils, Louis François, prit le nom de Marquis de Tourzel, d’une terre léguée de sa grande tante, la comtesse de Rupelmonde.

 

Il épouse Mademoiselle Félicité de Croy d’Havré le 8 Avril 1764.


Le nouveau marquis de Tourzel remplissait les fonctions héréditaires de grand prévôt de France, accompagnant la cour dans tous ces déplacements.

 

En 1786, lors d’une chasse à courre auprès de Louis XVI, Tourzel a eu un accident, et expire.

Sa jeune veuve prise d’un profond désespoir se retira du monde se consacrant à l’éducation des enfants.

 

Mais, bientôt, la reine la rappelle à Versailles avec sa plus jeune fille Pauline. La marquise de Tourzel est alors nommée gouvernante des enfants de France.

 

En l’accueillant officiellement, la reine lui dit :

" Madame, j’avais confié mes enfants à l’amitié, je les confie maintenant à la vertu "


Lors de sa fuite à Varennes Madame de Tourzel, pourtant très malade, refuse d’abandonner le dauphin.

 

Elle raconte dans ses mémoires : " J’avais pris depuis longtemps la précaution de faire faire à ma fille Pauline une petite robe de toile et un bonnet pour habiller en petite fille Monsieur le Dauphin si les circonstances rendaient ce changement nécessaire "


Madame de Tourzel suit pas à pas la famille royale à Paris et reste au secret.


Madame de Tourzel et sa fille affrontent le tribunal révolutionnaire avec courage et sans froid.

 

Le tribunal évoque le voyage à Varennes : comment avait-elle osé accompagner le Dauphin dans cette fuite ?

 

Sa réponse fut simple :

" J’ai fait serment de ne jamais le quitter, et je n’étais d’ailleurs trop attachée pour l’abandonner lorsqu’il pouvait courir quelque danger et ne pas chercher conserver sa vie même aux dépens de la mienne "

LE GRAND SALON


Ce salon, vaste pièce à angles arrondis, était orné de boiseries "  peintes en gris rechampi, et en vert d’eau ", richement sculptées de cartouches et agrafes rocaille.

 

Trois dessus de porte en camaïeu vert dans le style de Pillement, signés par le peintre Jacques de Séve, et une magnifique cheminée en marbre de Sarraucolin complétaient le décor.


Le marquis de Sourches prit en outre le soin de dater la pièce d’un mobilier assorti aux boiseries.

 

Contre les lambris s’adossaient quatre consoles à ceintures ajourées, sculptées de coquilles et de fleurs. Sous les glaces s’encastraient deux canapés, eux-mêmes sculptés de coquilles et de fleurs.

 

Les lignes sinueuses de la partie supérieure de leurs dossiers suivent exactement celles de la partie inférieure des bordures des miroirs.


Le salon et son mobilier, enlevés d’Abondant en 1902 par les descendants des Sourches, contraints de quitter le château, furent remontés dans un hôtel parisien.

 

Une nouvelle fois démonté et remonté à Paris après la dernière guerre, le salon avait néanmoins conservé la totalité de ses boiseries et de son mobilier.


Très généreusement offert au Louvre par le laboratoire L.Lafon, le salon d’abondant vient d’être définitivement remonté, selon ses dispositions d’origine, dans les salles du Département des Objets d’art du Louvre.

 

Les décors des boiseries ont été souvent morcelés et privés de leur mobilier assorti. Sont désormais présenté au Louvre non seulement les boiseries mais aussi le cheminée, le lustre, les quatre consoles, les deux canapés et les deux bergères.

 

Les sièges ont préservé leur garniture d’origine en tapisserie au petit point.


De l’accord entre boiseries et meubles, si caractéristiques du XVIII° siècle, le salon d’Abondant, désormais au Louvre, est seul aujourd’hui à témoigner.


L’ÉNIGME DU DAUPHIN


Dans une charmille du château d’Abondant appelée le Jardin du Roi, se trouve une jolie urne funéraire en belle pierre blanche récemment restaurée, de plus d’un mètre de haut avec deux anses représentant des têtes de bélier.


Dans l’article du numéro des Musés de France consacré à Abondant, il est indiqué que Madame de Tourzel avait fait construire un monument en souvenir du Dauphin et venait s’y recueillir.


Madame de Tourzel aurait reçu à Abondant la visite d’un certain Hervagant qui se présenta comme étant Louis XVII.

 

Il ressemblait au Dauphin et donnait des informations tellement précises que Madame de Tourzel en fut bouleversée, finit par le croire, l’hébergea, persuadée finalement qu’il était son dernier élève.

 

Il mourut à Bicêtre en 1812 et la Comtesse le fit enterrer dans une urne au fond du monument.


D’après l’institut Louis XVII (Organe de soutient de Son Altesse Royale Monseigneur Charles Louis Edmond de Bourbon et à son fils Son Altesse Hugues de Bourbon, descendant de Naundorf), Hervagant devait être l’un des deux garçons que la Convention avait substitué au Dauphin. Cette substitution recueille beaucoup d’adhésions.

 

Soixante ans après la mort de la duchesse, le château fut vendu en 1902 à l’industriel américain Flanklin Singer.

 

Le duc des Cars, un des descendants qui désapprouvait cette vente, prit la décision de faire parvenir de Paris un certain nombre de cercueils pour transférer les restes des membres de la famille, se trouvant dans l’église d’Abondant, au cimetière de Saint-Symphorien près du château de Sourches, dans la Sarthe, où se trouvait désormais replié sa famille.


En ouvrant le cercueil de la duchesse, on aurait trouvé un écrit.

 

Au vu de ce papier, on alla creuser au pied du monument du Jardin du Roi où l’on trouva un cadavre qui s’ajouta aux autres restes et partit pour Sourches.

Pour Myriam et Gaston de Béarn, le monument élevé à Abondant cachait les restes de Louis XVII, aucun doute n’était possible.


Cependant la plupart des historiens qui étudieront cette période de l’histoire ne sont pas de cet avis et donnent la préférence à Naundorf reconnu par les hollandais le 10 août 1845 et contre lequel s’acharnèrent les polices de Louis XVIII et Louis-Philippe, tant en France qu’à l’étranger.


Sa fille Amélie (1819-1891) morte à Mersac, ressemblait étonnamment à Marie-Antoinette.


L’énigme est toujours d’actualité…


Pour ceux qui aiment les énigmes de l’Histoire, ils peuvent admirer cette belle urne funéraire en accédant par la Maison de retraite des Cèdres.


LE CHATEAU D’ABONDANT A ABRITE UNE MAISON DE RETRAITE

En premier lieu, l’Association du château d’Abondant a été d’abord une Association caritative créée en 1951.


Propriétaire des bâtiments et des 11 hectares du parc, l’association avait pour but, lors de sa création, l’accueil de vieillards réfugiés on apatrides.


Les accords passés entre l’office International des Réfugiés et le Ministère des Affaires Étrangères imposaient à l’association de soigner les personnes accueillies dans le cadre d’une convention tripartie.


Cette convention explique pourquoi dans les années 1952, l’accueil a été fait en direction de Russes blancs qui avaient fuit leur pays après l’abdication du Tsar Nicolas II en février 1917.


De même les accords de paix en Juillet 1954 ont rendu nécessaire l’accueil de ressortissants du Sud Est Asiatique dont certains sont arrivés après des séjours en camp de redressement.


Cette obligation d’accueillir des réfugiés apatrides a disparu en 1993. Il reste quelques personnes dont la majorité a acquis la nationalité française.


L’association est constituée pour la plupart des Maires du " grand canton d’Anet " et des personnes intéressées par l’objet poursuivi.

 

Elle a dû démontrer beaucoup d’opiniâtreté pour défendre cette vieille bâtisse et assurer la pérennité de son fonctionnement.


L’Association du château d’Abondant était alors un établissement médico-social.

 

C'est-à-dire un établissement dans lequel sont accueillies des personnes qui présentent des difficultés sociales et/ou avec des pathologies invalidantes.


L’établissement comptait 106 lits dont 104 étaient médicalisés sous la forme de Cure Médicale.

 

Dans ces lits étaient hébergés des personnes qui avaient perdu la capacité d’effectuer seules les actes ordinaires de la vie, ou atteintes d’une affection somatique ou psychique stabilisée et qui nécessitaient un traitement d’entretien et une surveillance médicale, ainsi que des soins paramédicaux.


Depuis 1999, le centre gérontologique reçoit ses pensionnaires dans les nouveaux locaux construits dans l’enceinte du Parc de la Château.


Pour accomplir sa mission, l’établissement emploi 53 personnes et des prestataires de services dont 1 médecin à temps partiel, 8 infirmières, 1 ergothérapeute, 20 aides-soignantes, et aides-médico-psychologique.


L’évolution des services de maintien à domicile a permis à de nombreuses personnes âgées de rester dans leur maison à proximité de leur environnement social.

 

C’est une avancée qui fait l’unanimité pour, avec pour corollaire une modification profonde dans les admissions en maison de retraite.

 

En effet les familles ne sollicitent une admission dès lors que leur parent ne peut plus vivre seul à son domicile.

 

L’admission est donc plus tardive (+85 ans en moyenne) et nécessite des besoins différents (soins, nursing,…)


C’est un phénomène de société important par son coût et son ampleur qu’il conviendra de prendre en compte pour le respect de nos aînés.


La restauration de l’Orangerie du château, la réhabilitation des Marronniers permettent maintenant d’accueillir nos anciens dans des conditions parfaitement adaptées aux nouveaux besoins des résidents.

 

Bien sûr, notre commune peut s’enorgueillir et se flatter de posséder sur son territoire des installations aussi modernes, fonctionnelles apportant des solutions véritables aux problèmes des personnes âgées.

 

Ce n’est d’ailleurs, à nos yeux, que justice à leur égard, dans un monde qui les oublie parfois trop facilement.


Le véritable défi auquel nous sommes tous confrontés, est de savoir donner leur place au plus anciens, qui sont notre patrimoine humain, si riche en souvenirs, véritables mémoires vivantes du passé et trait d’union entre les différentes générations.


Permettez-moi de féliciter l’association du château d’Abondant car elle fait appel à la générosité, au bénévolat de personnes qui partagent une passion commune, et qui recherchent une satisfaction, celle d’aider, dans cet environnement de verdure et de tranquillité, ceux qui sont le symbole par excellence de l’expérience, de la sagesse et du temps qui passe.


Heureusement, le propriétaire de future résidence hôtelière : " Les Ducs d’Abondant " envisage de refaire à l’identique ce grand salon.

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commentaires

G
De famille originaire d'Amougies (Belgique), château des Montmorency( détruit par les Français en 1792), tombes de cette illustre famille dans l'église, Madame de Tourzel étant de<br /> Montmorency-Luxembourg, je me demande en quelle année fut réalisée l'urne aux deux anses de béliers (pourquoi des béliers?) où Myriam et Gaston de Béarn situait les restes de Louis XVII? Merci pour<br /> votre réponse.
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